Faire ses courses en ligne, tout le monde connaît, beaucoup d’acteurs de la « nouvelle économie » s’y sont cassé le nez.
Je vous ai dit que je chargeais mes courses après mon travail en moins de 3 minutes, ma femme ayant pris le RDV en validant la commande sur internet , c’est un truc qui marche, quand on y a goûter, on ne s’en passe plus ! ;
http://www.google.fr/url?q=http://www.auchandrive.fr/accueil.jsp%3FchoixMagContact%3D3%26auth%3D1&ei=ZEZ1SungB96gjAexss23Bw&sa=X&oi=smap&resnum=1&ct=result&cd=2&usg=AFQjCNGwwQg8IARrZUJJlWwnY0an88-jzw
Pour un prix modique, les personnes âgées ou malade, peuvent se faire livrer ;
http://www.intermarche.com/courses_en_ligne.aspx
Ce qui marche, c’est ce qui apporte un vrai service à la société.
Pour revenir à nôtre drive, quand on aborde le sujet autour de moi, la première réflexion est « c’est plus chère ?». Pourquoi un magasin tout simple, qu’on peut résumer en un entrepôt avec devant 8 places de « quais d’enlèvement », un comptoir d’accueil qui ne sert pratiquement jamais et 3 bornes automatiques peut -il avoir un coût supérieur à un magasin avec parking, caddies, accueil, caisses, service de sécurité, animation, rayonnage,…..etc, que n’a pas le drive, donc, les couts sont bien moindres!
Le modèle de supermarché est en train d’évoluer fortement, les caisses deviennent automatiques (pas la peine de parler de perte d’emploi, c’est un autre débat sur l’évolution de la société vers un plus que beaucoup ne perçoivent pas)
http://www.courtois.cc/murphy/murphy_queues.html
Suivant le rapport Attali, la suppression de la loi Royer par la LME (loi qui avait fait flamber les murs de magasin, d’ailleurs je salut le pif de Naouri, qui a très bien vendu Mercialys en plein boum immobilier,….. Et maintenant,
, Carrefour en grande difficulté veut faire de même,…trop tard
.
J’attends un hard discounter sur ce marché du magasin/entrepôt automatisé (pas un speudo-acteur), et s’il pouvait financer son développement avec une entrée en bourse, je saute dessus sans hésiter !
http://www.journaldunet.com/management/0602/0602122discounters-alimentaires.shtml